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 Littérature Praetorienne.

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Julie
Poaski
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Svea
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MessageSujet: Littérature Praetorienne.   Littérature Praetorienne. EmptyLun 9 Juin - 17:30

Avec les textes de Julie, je me suis dit qu'il serait sympa de faire ressortir les quelques textes que l'on ait pu écrire.
Je laisserai le soin aux auteurs d'aller rechercher leurs merveilles et de les (re)poster sous leur propre nom, mais ce serait aussi sympa d'accrocher un post-it "propre" avec les textes.

Laissant tout loisir aux fans d'ouvrir un post pour félicitations, sollicitations, corrections, et autres mots en -tion.

Je commence par mes propres productions :


Courte nouvelle sur la fin de Praetoria.

Citation :
D’aussi loin que je me souvienne, la Praetoria avait toujours existée. Comment a-t-on pu en arriver là ? Et pourtant, je me tenais là, à genoux, au milieu des décombres qui s’élevaient jadis comme une fière forteresse, antre imprenable des corps d’élites des familles royales de l’Alliance.

Je m’avançais un peu hagard au milieu des corps déchiquetés, de ces visages sans noms, de ses êtres sans vies. Entres les soldats inconnus, légionnaires anonymes qui ont donné leur vie pour la cause de la Lumière, je reconnaissais des visages qui m’étaient familiers, pour les avoir fréquentés dans les salles des officiers où les Seigneurs aimaient à retrouver leurs compagnons d’arme.
Cellendhyll était tombé. Greyfox gisait quelques mètres plus loin. Templier était à ses côtés : sans doutes les deux frères s’étaient battus côtes à côtes jusqu’au bout. Je reconnaissais aussi, assez difficilement, le jeune Poaski.

Un peu plus loin, je retrouvais Nodiane. Vivante. Du moins n’était-elle pas morte. Comment avait-elle survécu au massacre, je ne le sais. Mais ce qu’elle avait du voir l’avais laissé dans un tel état de choc, on aurait pu s’imaginer aisément qu’elle fut morte en son fort intérieur. Elle tenait, serré contre son corps, son livre de prières. Je tentais de l’aider à se relever. Tout ce qu’elle pu marmonner furent quelques noms de ses amis, morts.

Il était aussi pénible de se diriger à travers ce paysage macabre que de ne toucher aucun corps, par respect vis-à-vis de leur courage. Et plus j’avançais, traînant la prêtresse de force hors de ce qui était désormais le passé, plus mes yeux s’embrouillaient de larmes à la vue d’autres de mes connaissances : Olween, Percebrume, Shadoow…
Je m’arrêtais devant le corps de mon mentor. Le fils du Nord, Heimdåll, était lui aussi tombé. Mes forces me quittèrent et je tombais sur place, perdu dans ma tristesse et ma mélancolie. Peu à peu, un cri de douleur s’élevait, et je m’étonnait de m’apercevoir qu’il venait de ma propre gorge. La Praetoria était décimée.
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MessageSujet: Re: Littérature Praetorienne.   Littérature Praetorienne. EmptyLun 9 Juin - 17:31

- Un début sans suite (1)

Citation :
Je tiens aujourd’hui ce carnet pour vous relater la naissance, la splendeur et la mort de la Garde Nordique. Du moins telle qu’on la connaissait jusqu’alors. Peu sont ses survivants.

Commencons par le début.

Je suis Matis Nordling, fils du Seigneur du Nordstedt, une terre de l’est du Berceau de l’Hiver en Kalimdor. À l’époque où j’entendis parler de la Praetoria pour la première fois, je n’étais encore qu’un tout jeune homme, aimant à braver les recommandations de mon père, à boire les chopes de cervoises avec mes amis et taquiner les servantes de la maison.
Heimdåll, un guerrier du clan voisin, était revenu du Royaume de l’Est avec de biens mauvaises nouvelles, aux dires de mon père. Et il était revenu chez nous pour se trouver quelques valeureux combattants pour l’accompagner à Stormwind.
Je me souviens de la première fois où je le vis. J’assistais alors aux doléances du peuple lorsque le guerrier entra. Et je fus surpris que ce soit lui : même s’il n’était pas petit, il n’était pas d’un physique qui lui prêtait son rang. Plutôt élancé, il ne paraissait pas non plus très âgé. Et pourtant mon père, le Seigneur du Nordstedt, l’accueillit comme un vrai héros des Peuples du Nord. Mon père le tenait à bout de bras, comme mon frère que je n’ai jamais eu. Les larges doigts de mon père recouvraient largement les minces épaules du guerrier. Lorsqu’on lui retira son manteau (fait dans une peau de loup de toute beautée), je ne pu m’empêcher de remarquer sa magnifique épée. Je fut tellement investit dans mon inspection de l’accoutrement du visiteur que je n’eut pas entendu une once de ce qu’il avait déclaré à mon père. Mais à voir le visage blême et l’expression dure de son visage, je compris que ces nouvelles l’embêtaient au plus haut point.
« - Une Garde Nordique est un grand honneur fait à notre peuple, Capitaine Heimdåll. Cependant, je crains que cette saignée de nos meilleurs éléments ne nous mette plus en péril dans nos propres régions que le danger qui monte de l’autre coté de la Grande Mer.
- Je comprend ton scepticisme, Seigneur Ingvar. Mais ne te trompe pas. Le véritable danger arrivera très bientôt si nous ne sommes pas capable de l’enrayer. En aucun cas je ne te demanderai le départ de tous tes hommes. Je ne tenterai même pas de te soudoyer quelques gardes de ta garde personnelle. Mais à l’heure qui est, je ne me retrouve qu’avec douze hommes. C’est bien trop peu pour la mission qui m’a été confié. Custennin…
- Non ! rugit alors mon père. Custennin ne partira pas d’ici. Il est MON capitaine, Heimdåll ! Il sert les intérêts de son peuple avant tout !
- Repose toi, vieil homme. Aujourd’hui, NOTRE peuple ne serait plus s’il était seul. Je disais simplement que Custennin m’aurait été d’un grand secours. Et que c’est d’hommes comme lui dont ma future garde a besoin. »
Mon père se retourna vers moi. Puis, s’adressant encore au Capitaine Heimdåll, il dit :
« - Dix hommes. Voilà ce que je peux te fournir. Dix hommes avec monture, en armes et expérimentés. Il ne sera pas dit que le Seigneur Ingvar, du Nordstedt, n’aura pas contribuer à la Garde Nordique.
Et je te confie aussi mon fils, Matis. Il sera pour toi un écuyer fidèle, et tu feras de lui l’un de tes meilleurs éléments.
- Les dieux te seront redevables, Seigneur Ingvar. »

En un instant, mon père venait de sceller mon propre destin. Moi, Matis, fils du Seigneur de Nordstedt, me retrouver écuyer d’un soldat.

---

Je voulais parfaire mon paquetage. Je préparais mes plus beaux habits, mes plus belles parures. Si je devais me retrouver à Stormwind, je me devais de représenter mon peuple de la meilleure manière. Tandis que je m’afférais, on frappa à ma porte. Custennin, Capitaine de la Garde de mon père, venait me quérir :
« - Le Seigneur Heimdåll vous attend.
- Dis lui de patienter, que je fais mes bagages aussi rapidement que possible ! »
Sur ces paroles, Heimdåll entra dans ma chambre.
« - Allons, Matis. Hâte-toi ! Nous devons encore passer par quelques villages, récupérer quelques hommes. Et nous devons atteindre Auberdine avant demain soir.
- Je ne peux me présenter à Stormwind ainsi vêtu, Guerrier. Ma situation exige…
- Ta situation a changé, Matis, écuyer. Et dorénavant, tu m’appelleras Seigneur, comme tout écuyer appelant son Seigneur. »
Devant cette réplique pleine d’autorité, je ne sus que répondre, et j’acquiesçais, ne sachant que faire d’autre. En cherchant de l’aide dans les yeux de Custennin, je compris que celui-ci était tout acquis à mon nouveau Seigneur.

Moi, Matis, fils du Seigneur Ingvar du Nordstedt, était devenu simplement Matis, écuyer du Seigneur Heimdåll.

Entre l’arrivée d’Heimdåll et notre départ au milieu de la nuit, beaucoup de choses avaient déjà changé. Certes, mon rang avait évolué, mais aussi mes idées quand à mon possible avenir. Moi qui pensais me réveillais demain pour partir chasser le gibier avec mes amis, je devrais certainement lutter pour garder les yeux ouverts, à chevaucher dans le froid, accompagnant des guerriers que je n’avais jamais vus.

Nos passages aux différents villages dont m’avait parlé Heimdåll furent très courts. Les chefs de clans se tenaient à l’entrée de leur petit Royaume, avait les quelques guerriers en armes qu’il pouvait céder. Tous étaient jeunes, sans familles ou attaches, « pour qu’ils n’aient pas autre chose à penser que la Cause » se justifier mon Maître.
Nous quittâmes le Berceau de l’Hiver au petit matin, alors que le soleil commençait à inonder l’océan gelé de neige fraîche. Le printemps s’annonçait, mais je n’avais pas le cœur à chanter. Nous partions à la guerre.
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MessageSujet: Re: Littérature Praetorienne.   Littérature Praetorienne. EmptyLun 9 Juin - 17:32

- Un début sans suite (2) :

Citation :
Moi, Eideen ap Eidur, j'écris ceci.
Rares sont ceux qui peuvent se souvenir de ces temps sombres aussi clairement que moi. Rares sont ceux qui peuvent entrer dans l'awen druidique pour se remémorer les horreurs passées. Moi je le peux.

Cela fait maintenant beaucoup d'étés moroses et d'hivers glacials que je parcours la surface sans intérêts de ce monde. Trop de temps perdu et oublié a rendu mou et gras ce peuple qui ne doit sa survie qu'au sacrifice de son ascendance. Porcs immondes et répugnants, se complaisant dans la médiocrité de leur existence dont le gout amer ne rappelle que celui des racines bouillies dans les excrements des porcs qui jonchent leur propre sol. À la vue de cela, mon coeur ne peut que répugner ma propre survie à cette guerre qui s'est passée il y a si longtemps.
Laisse moi te rafraîchir la mémoire, homme ou femme d'Azeroth. Laisse moi te conter ma vie auprés des combattants de la Lumière, des chevaliers du Courage, auprés de ceux qui ont donné leur vie et leur âme pour qu'aujourd'hui, tu puisses te prélasser dans ta crasse.

---

Je n'étais âgé que de quinze printemps lorsque je franchissait pour la première fois un portail de garnison. Mon père était Seigneur d'un petit Royaume dans le Nord. Et comme tout Seigneur faisant son allégeance à la royauté, ses fils, dont moi, partions pour gonfler les rangs de son armée. Honneur dû à son rang, nous avions l'extrême obligeance de rejoindre la garde impériale, la grande Praetoria.
Il faut bien que je m'arrête deux minutes sur ce point. Aujourd'hui, il ne subsiste rien de cette garde d'élite, si ce n'est que quelques histoires à dormir debout sur quelques uns de ses illustres membres. L'époque dont je parle était une période bien sombre. La guerre était un état de fait, et la Paix n'était que fable racontée aux enfants pour s'endormir. Et si les petits conflits et les escarmouches étaient bons nombres, meurtriers souvent, horribles toujours, les plus grandes batailles avaient été menées au nom de la Lumière et pour le Grand Roi par la grande armée de la Praetoria. Et dans ses rangs, gros de prés d'une centaine de millier de têtes à son apogée, il n'y avait que de grands et preux combattants, pour beaucoup fils de Seigneurs ou Seigneurs eux-mêmes, et sous les ordres des plus grands champions du Grand Roi.
Je pénétrais donc l'enceinte de Caer Wylffa, une petite forteresse du Nord, où une petite poche de la Praetoria était venue en garnison pour l'hiver qui approchait. Je marchais derrière mon père et au milieu de mes deux frères, chacun plus âgés de deux étés que moi. Leur grande taille et leur aptitude au combat feraient sans nuls doutes d'eux des combattants aux premières lignes, et, je l’espérais, des guerriers reconnus. Je n'étais pas comme eux. J'étais malingre, plutôt gauche, et assez rêveur. "Une vraie âme de barde" aimait à dire mon père. Aussi, lorsque je me présentai à la Praetoria, mon père nourrissait pour moi un service auprès des maîtres Druides.
La cour était assez grande, quoique le monde qui y affluait la rendait somme toute étroite. Le vacarme qui y régnait était énorme, mais l'ordre était de mise. On pouvait voir ci et là nombre d'hommes déplaçant foin, avoine, mais aussi froment, seigle, lard et boissons de peu. Il était évident qu'ils se préparaient à un hiver assez long et calme. Je remarquai aussi quelques soldats qui faisaient rapidement faire le tour de la petite forteresse à de nouvelles recrues. Sans nuls doutes que nous serons à leur place dans quelques minutes.
Mon père se dirigeait d'un air assuré vers un homme plus grand que les autres, qui semblait superviser le tout. Il donnait quelques ordres par ci par là, et donnait surtout son approbation sur la nourriture qui entrait et aller être entreposer. Sentant approcher mon père, l'homme se retourna et un sourire se dessina sur son visage enjoué. Il avait les cheveux longs et bouclés, d'un noir cuivré. Ses épaules étaient larges et ses mains étaient aussi grosses que mes cuisses. Il affligea une tape sur l'épaule de mon père en signe de bienvenue et les premiers mots qu'il prononça me firent frissonner, car il parlait d'une voie grondante, quoique amicale:
"- Bienvenue Eidur ap Eid, Seigneur d'Ilff.
- Seigneur Percebrume. C'est un immense bonheur de vous revoir après tant d'années. J'accompagne mes fils pour honorer ma dette de guerre au Grand Roi. J'en profite pour te rendre une petite visite de courtoisie.
- Tant mieux tant mieux, Ami! L'envie n'aurait pas manqué de passer par chez toi, mais le temps m'en aurait certainement empêché."
Puis, se tournant vers nous -ou plutôt devrais-je dire mes frères, l’homme m'ignorant totalement- il nous jugeât d'un rapide coup d'oeil et en semblât satisfait.
"- Bien! De nouveaux Cymbrogi! Greyfox et Heimdåll seront contents."
Quelques secondes après, un soldat se présenta, et Percebrume confia mes frères à son bon soin.
Mes frères s'éloignèrent rapidement après un rapide adieu à mon père. Quand à moi, je restai un peu coi. Non pas que jee fusse réellement âgé, mais depuis mon plus jeune âge j'attendais d'entrer au service d'un maitre-druide. Et le temps avançant, à ma grande présomption, je faisais la liste de ceux qui aurait l'avantage de m'avoir comme élève. Et le Seigneur Percebrume était de ceux là.
Rares sont les personnes de sa race à avoir pu allié le mysticisme des Druides anciens au culte de la Lumière. Rares étaient donc les maitres-druides toujours en activité. La volonté de mon père de me faire entrer au service de l'un d'eux, qui plus est dans la grande Praetoria, était donc forte.
Me remarquant enfin, le Seigneur Percebrume porta un regard interrogateur sur mon père.
"-Voilà mon plus jeune fils, Eideen. Il n'est pas bien costaud, mais il à l'âme d'un barde."
Le grand Druide me dévisageait de haut en bas et de bas en haut, tentant de mettre mon âme à nue.
"- Je me suis laissé dire, mon Ami, que tu aurais besoin d'un petit aide de camp. Le simple fait de travailler à ton service devrait lui apprendre énormément."
Ses grands yeux sombres semblaient se perdre dans ses réflexions. Sans nuls doutes il pesait le pour et le contre de mon utilité. Je me voyais déjà de retour avec mon père sur notre domaine, son refus ne faisant pour moi aucun doute. Et pourtant.
"- Druide-Barde est une carrière révolue par les temps qui courent, Eidur ap Eid. dit-il d'une voix profonde. Nul doute là encore qu'il mettait à l'épreuve la volonté de mon père.
- Je me doute, Seigneur Percebrume. Mais je suis certain aussi que tu ne souhaites pas cela.
- L'argumentation est courte, mais ma nécessité est également énorme. À dire vrai, j'espérais bien que ce chétif jeune homme m’était destiné! s'exclafa-t-il en infligeant une énorme tape dans le dos de mon père. » J’entrai ainsi au service du Seigneur Percebrume, Archi-Druide de la Praetoria. Grand était l’honneur, grand était mon devoir.

---

Mon père quitta le Caer le soir-même. Nos adieux furent rapides, mon père n’aimant pas à se laisser aller aux sentiments. Ils n’engendraient que nécessité et faiblesses selon lui.
Je me retournais alors vers le Seigneur Percebrume, attendant que celui-ci me donne quelques ordres de bas étages, tels nettoyer les écuries, ou aller refaire sa couche. Or il m’ignorait, ayant repris son travail de supervision. Je restais les bras ballants, ne sachant trop que faire. Je cherchais quelques minutes mes frères des yeux, mais devant le monde rassemblé, il était impossible de trouver quelqu’un de précis, surtout du haut de mes petites jambes frêles.
Perdu dans cette agitation, je me recroquevillais dans mes pensées, et la voix grondante du Seigneur Percebrume me rappela à la réalité.
« - Eh bien, mon jeune aide, te voilà déjà parti bien loin d’ici me semble-t-il. »
J’acquiesçai, d’un air abattu. Je n’étais sous son service que depuis cinq petites minutes que je recevais ma première remontrance.
« - La rêverie est un puissant atout, mon jeune ami, reprit le Druide. Grande peut être son pouvoir. Mais il faut savoir regarder au-delà des merveilles qu’elle nous présente. Tu apprendras cela. »
Une minute après, ma première leçon venait de m’être inculquée.
« - Sais-tu fabriquer un balai ?
-Eh bien, je n’en ai jamais fais à vrai dire, mais j’ai déjà vu souvent les ménagères de mon père en faire. Je pense pouvoir en faire un.
-Alors fabrique-t-en un et reviens me voir une fois cela fait. »
Je passais donc le reste de ma journée à la lisière du bois qui bordait le Caer, cherchant ci et là brindilles et branchages pour mon arme personnelle : un balai.

Les rayons du soleil inondaient la plaine et faisaient rougeoyer les derniers nuages qui s’attardaient dans le ciel. La soirée était claire pour un soir d’automne, et les oiseaux chantaient encore. Sans doute leurs dernières mélodies avant le départ pour l’hiver. Je venais de finir mon balai –ou du moins ce que j’espérais qui ressemblât à un balai- et me dirigeai à nouveau vers le Caer. Mon ventre criait famine.
Je trouvais le Seigneur Percebrume à l’intérieur de la grande salle du Caer. Il était apparemment en grande discussion avec ce qui semblait être un messager. J’étais trop loin pour entendre ce qui se disait, et je n’osai m’approcher, de peur d’interrompre une discussion importante par ma simple présence. Cela me permit d’ailleurs de scruter un peu plus mon nouveau Seigneur. Je crois que c’était sa taille qui m’impressionnait le plus. Peut être qu’un homme de croyance ne devait pas ressembler à un guerrier dans mon esprit. Il dépassait d’une bonne tête les trois quarts des guerriers présents dans la forteresse, le messager avec qui il parlait compris. Je voyais à son air que les nouvelles qu’on lui apportait ne devaient pas être bonnes, du moins pas comme il le souhaitait. Il semblait fouetter l’air du revers de la main comme pour chasser ces nouvelles qui le gêner. Tandis que le messager lui parlait, il tourna le visage, et son regard croisa le mien. Il me fit signe d’approcher, et je m’exécutais en hâte.
Il tendit la main, comme pour demander son dû. Je lui glissais dans la main ma misérable baguette de bois parsemée de brindilles.
« - Je te remercie de ces nouvelles, Gwalf. Tu peux te retirer. »
Sur ces paroles, le messager s’inclina devant le Seigneur Percebrume et se retira.
« - Est-ce là ton balai, jeune Eideen ?
J’hochais la tête, mes yeux fixant mes bottes crasseuses d’avoir traîner un peu dans la boue durant l’après-midi.
- Eh bien, tout travail mérite salaire mon jeune aide de camp ! Reprend ton bien et chérie le, il sera ton meilleur ami pendant quelques temps. Et va te chercher de quoi te restaurer. Demain est une longue journée, nous quittons le Caer. »
Voyant mon Seigneur s’éloigner, ma curiosité l’emporta sur ma timidité.
« - Mauvaises nouvelles, Seigneur ? »
Dieu me pardonne mon impudence, j’étais alors jeune et curieux de tout.
« - Chaque chose à sa place, Curieux Eideen ! me gronda-t-il. Ses nouvelles me concernaient, et moi seul dois en être informé. Va, mange et dors. Demain, nous chevaucherons toute la journée. »

Je me rendais donc aux cuisines, du moins pensais-je y être. L’endroit était crasseux, abandonné depuis des années. La pierre était noire, le sol de bois craquelé de partout et à moitié envahi par les mauvaises herbes. Deux hommes étaient là, tentants de raffistoler ce qui pouvait l’être. Je trouvai sur la table un petit pain de seigle et une cruche d’eau à peine fraîche. Je me servais un verre que je vidai d’un trait, et engloutit mon petit pain en deux mâchées. C’était frugal, mais ma fatigue l’emportait sur ma faim, et je trouvais rapidement une place aux écuries pour y passer une nuit courte mais paisible. Tout le monde autour de moi dormait d’un sommeil du travail accompli le jour. La nuit était douce, la lune brillait haut dans le ciel. Une première nuit qui emplissait mon cœur de vaillance, et je rêvais de batailles épiques auxquelles je prenais part aux côtés des plus grands noms de la Praetoria.

---

Nous quittâmes Caer Wylffa en milieu de matinée.
Le réveil fut frileux pour moi, étant réveillé par une brise matinale venant du nord et quelques gouttes de pluie me cinglant le visage. Un petit déjeuner composé d’un lait de chèvre et d’une galette de seigle, je ne savais pas encore que cela deviendrait un repas plus que correct pour quelques semaines.
Je retrouvai donc le Seigneur Percebrume en milieu de matinée, et il m’assigna un cheval. J’y chargeais mon « arme » et quelques provisions pour la route – deux ou trois galettes chipées sur la table – et suivit la monture de mon maître qui commençait déjà à s’éloigner. En passant à hauteur d’un personnage mystérieux, le Seigneur Percebrume lâcha quelques rappels de bon ordre dans le Caer et d’attente de nouvelles de sa part, puis tourna le dos et continua sa route. Je suivais, dans un silence qui me convenait assez.

On ne peut pas dire que le voyage fut long, puisque nous arrivâmes en vue de notre destination en début de soirée. Cependant, le temps fut exécrable et n’aida pas à faire passer une atmosphère pesante. Le vent de la matinée s’était amplifié, et la pluie fine qui tombait nous cinglait le visage comme les griffes d’un chaton qui cherche à jouer. Le Seigneur Percebrume ne m’avait décroché qu’un salut lorsque je le retrouvait dans la cour en début de matinée, et depuis, plus rien. Non pas qu’il ne fût en aucune sorte en colère contre moi ou qu’il eut voulu me punir de quelques manières, mais il était profondément plongé dans ses pensées, et je ne voulais pas l’en distraire.

Arrivé à hauteur d’un bosquet, alors que la lumière du soleil commençait déjà à décliner, le Seigneur Percebrume arrêta sa monture et poussa un hululement. C’était assez extraordinaire à entendre. Ayant accompagné plusieurs fois mon père à la chasse, je connaissais les techniques consistant à imiter le bruit de certains animaux, mais le cri poussé par le Seigneur Percebrume était incroyable de vraisemblance. Et ma surprise à cette réponse, en voyant sortir du buisson devant nous, un homme.
Apparemment, les deux hommes se connaissaient relativement bien. Ils se saluèrent en se serrant les avant-bras à la manière des peuples anciens.
« - Que la Lumière t’éblouisse Ellenor, te voilà en pleine forme, dit le Seigneur Percebrume.
- Oui Seigneur, j’ai la chance d’avoir vécu quelques mois tranquilles. »
Se tournant vers moi, il me dévisagea rapidement, et revint à sa discussion avec mon maître. Cette façon de m’ignorer devenait habituelle, mais elle continuait de m’agacer au plus haut point.

La discussion tourna rapidement au sujet de mouvements de troupes dans le Nord. Je n’étais encore qu’un jeune garçon, peu au courant des choses de la guerre, mais je savais que c’était peu habituel en cette période de l’année. Nous allions entrer dans l’hiver rigoureux, et souvent les barbares en profiter pour se préparer aux assauts qu’ils lanceraient dès le beau temps revenu. Qui plus est, ces mouvements semblaient inquiéter sérieusement le Seigneur Percebrume.

« - L’Impératrice a déjà pris les devants. Elle a envoyé Heimdåll et Greyfox en avant poste. D’après elle, ce ne sont que de simples mouvements avant de prendre leurs campements d’hiver, mais elle veut assurer une protection minimale, ajouta Ellenor.
- C’est une décision prudente. Je ne pense pas non plus qu’ils aient prévu quelque chose durant l’hiver. Nous en verrons davantage sur place avec Greyfox et Heimdåll. »

Le Seigneur Ellenor nous conduisit donc vers la forteresse où les célèbres Cymbrogii, guerriers de la Praetoria, gardaient la sécurité du Royaume de la Lumière.
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MessageSujet: Re: Littérature Praetorienne.   Littérature Praetorienne. EmptyLun 9 Juin - 18:39

Takeshi's story :

Fab a écrit:
bon je vais vous conter mon histoire :

Scribe de Stormwind a écrit:
Je vais vous conter une histoire que mon maître lui même m'a conter lorsque j'étais en apprentissage pour devenir scribe du roi, cette histoire débute il y a une trentaine d'année lorsque qu'une famille avec deux enfants en bas âge arriva échoué sur une plage de Baie du Butin, celle ci peuplé de bête carnivore assez impréssionnante l'homme qui été évanoui se réveilla et saisi son épée pour déendre sa famille qui semblait encore sonné, mais étant fatiguer par son voyage il ne tena pas tête face à ses assaillants et succomba sous leurs attaques, la femme elle fût tuer dans son sommeil et l'ainé aussi, n'ayant pas vu qu'il restait un nourrisson dans un berceau caché par divers débrits ils se remirent en quête de nourriture dans la forêt de strangleronce.

C'est alors qu'un elfe de la nuit, allais à Baie du Butin pour faire quelques ventes et amplettes découvrit le jeune enfant, très ennuyer par sa découverte et ne sachant pas trop quoi faire décida de prendre l'enfant et de repartir vers Darnassus pour demander conseil aux anciens. l'enfant fût accepter parmis les elfes mais à une seule condition c'est que l'enfant une fois en âge de tenir une épée soit éxilé en terres d'Azeroth pour qu'il ait une éducation religieuse et non une éducation sylvestre qui est le secret des elfes.

Quelques années passèrent, l'enfant que l'ont avait appeler Elessar grandissait et resentait son désir de manier l'épée en voyant ses amis s'entrainer pour devenir de fier et fort guerrier cénarien. Lui n'ayant pas droit à ces entrainement dût a ses origines malgrès son acceptation parmis eux, c'est alors qu'il vit s'approcher de lui un grand guerrier d'une taille assez impressionnante avec une coiffure tres longue bleutée et cet elfe lui dit :

-"C'est donc toi le jeune humain que le vieu druide a ramener il y a quelques années maintenant ?"

Elessar étant intimidé par la taille de cet elfe resta les lèvres collées et ne repondit pas.

l'elfe repliqua :

-"Tu peux me repondre je ne vais pas te tué j'ai déjà manger une bonne douzaine d'enfants aujourd'hui" <rigolant>

Elessar repondit :

-"Je suis bien l'enfant qui fût ammener par le vieil elfe il y a quelques années mais maintenant je ne suis plus un enfant ! je me prenomme Elessar et je serais un guerrier fier et brave comme vous !" sur un ton ferme.

le guerrier dit :

-"Ecoute petit, je vais m'entretenir avec les anciens et si ils acceptent je te prends en temps qu'écuyer, et tu viendra avec moi découvrir Azeroth car si je ne m'abuse ton sort est de partir un jour ou l'autre d'ici pour retourner parmis les tiens".

L'elfe partit voir les anciens qui donnerent leur accord malgrès que le jeune garçon soit un peu jeune pour partir à l'aventure, mais avec un guerrier experimenté il ne risquerais rien.

C'est alors qu'Elessar et son nouveau maître partirent en direction d'Azeroth...

Une dizaine d'année passèrent, l'elfe qui se nommais Greyfox décida de ne pas faire de son jeune écuyer une brute épaisse de guerrier humain et parti en direction de Stormwind voir les moines et clercs pour former le jeune homme pour être paladin.

Quant les deux hommes passerent le porche de l'église un moine les interpelerent :

-"Messire puis je vous aider ?"

Greyfox répondit :

-"Je pense en effet que vous pourriez m'aider, je voudrais que mon jeune ami, suive une formation pour devenir paladin s'il vous plaît."

Le moine répliqua avec hésitation :

-"Bien sûr, mais comment se prenomme t'il ?".

Greyfox répondit :

-"Il se nomme Elessar, mais c'est un nom elfique donc a vous de voir."

C'est ainsi que le guerrier reparti comme il était venu en laissant derrière lui son jeune disciple aux mains des moines de Stormwind.

Une dizaine d'années passerent entre le moment ou Elessar et Greyfox c'était séparé pour qu'il suive une formation.

Elessar que l'ont surnommait maintenant Templier dût à ces grandes qualités et sa bonté de chevalier avait terminé son apprentissage de paladin et était maintenant en mesure de partir seul vaincre divers assaillants dans le royaume.

C'est alors que lors qu'une bataille dans la contrée des steppes ardentes il fût secouru par son ancien maître et ami Greyfox qui surgit de nul part avec son imposant tigre. Après cette bataille Greyfox qui avait depuis rejoint un groupe de personnes nommé Praetoria qui reunissait l'élite d'Azeroth afin de détruire les assaillants qui les menacaient, décida d'inviter Templier à rejoindre les rangs de cette magnifique équipe, pour qu'il soit reunni comme au part avant................................

Je vais devoir vous laisser maintenant, je ne pourrais vous conter la suite de cette histoire un autre jour car mes devoir de scribe pour le rois m'appelle à présent.
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MessageSujet: Re: Littérature Praetorienne.   Littérature Praetorienne. EmptyLun 9 Juin - 18:40

Et puis ma mienne tant qu'à faire Smile :



"-Grand-père, conte moi encore une fois les histoires de la légendaire Praetoria, raconte moi les exploits de leurs soldats et la noblesse de leurs officiers !

-Si cela peut te faire plaisir. ce soir, je vais te conter comment les orcs faillirent envahir azeroth, et comment les prétoriens les en empéchèrent."

Grand-père a écrit:
Le camp fut hâtivement monté. Tous se mirent au travail, mais non car tels étaient leurs ordres, mais car leur rage était grande et leur désir d' anéantir la menace des orcs immense.
Pendant ce temps, la divine Shakila tenait un conseil de guerre avec ses officiers, devenus légendaires pour leur bravoure et leur courage sur le champ de bataille.
Considérée comme une, si ce n' est La plus grande stratège qu' Azeroth ai jamais connu, Shakila avait l' habitude de combattre aux côtés de ses troupes, et savait exciter dans les coeurs des membres de sa garde le courage et le désir de vaincre.
Les préparatifs achevés, les deux armées se placèrent en formation de combat. Le champ de bataille désigné se situait en plein coeur des Paluns, les orcs ayant réussi à prendre le port de Menethil et à envahir toute la partie occidentale de la région, une terre marécageuse et hostile.

Et le signal de l' attaque fut donné. Les cohortes des redoutables guerriers prétoriens, menés par les preux Heimdall et Greyfox, marchèrent vers l' ennemi. Leurs boucliers formaient une muraille impénétrable sur laquelle les vagues d' assaut désorganisées des orcs se brisaient comme des rouleaux sur des rochers.
Ils étaient suivis par les nobles paladins, dirigés par Malgan.

Le choc fut rude et la bataille sanglante. On n' entendait plus que le fracas des armes contre les boucliers, des lances volant en éclat et des blessés aux chairs meurtries priant qu' on les achève. L' eau des marécages se teint du sang des morts, déjà nombreux. Ce fut une boucherie sans précédent ; mais, soignés par les prêtres de la Lumière, guidés par Nodiane la Radieuse, dont on disait qu' elle était la fille de la Lumière, les prétoriens prirent aisément l' avantage.

Malrès cela, les orcs tenaient bon, et les totems de leurs chamans infligaient de lourdes pertes au rangs de la garde impériale. Beaucoup étaient tombés, mais beaucoup plus restaient debout : On voyait Greyfox, accompagné de son frère Templier, ravager les rangs ennemis, en essayant de se frayer un chemin jusqu' aux généraux ennemis.
De son côté, Poaski prouvaient à tous que son jeune âge ne signifiait aucunement que sa bravoure et son courage n' égalait pas ceux de ses aînés : on voyait autour de lui une véritable montagne d' ennemis. Il y avait aussi Heimdall et sa garde Nordique, semant la mort parmis la horde des orcs et Methel, fauchant les orcs de sa lame immense.

Les mages, quand à eux, étaient restés en arrières, dirigés par Mallybouchon, et bombardaient l' ennemi de flammes et de glace.
Les chasseurs et les démonistes, menés par les sénateurs Zoom et Adrial, se placèrent de chaque côtés du front, et envoyèrent leurs familiers décimer les rangs ennemis, tout en faisant pleuvoir des nuages de flèches, de balles et de traits d' ombre.
La stratégie était parfaite.
Les voleurs, sous les ordres de Cellendhyl l' Implaccable, se refermaient déjà sur les orcs désamparés, ne leur laissant aucune possiblité de fuite.

Mais, alors que tous croyaient la bataille gagnée, ils L' entendire. Un martellement qui semblait venir provenir des entrailles de la Terre. Ils arrivaient. Une horde de taurens, montés sur leurs énormes kodos, venaient porter secours à leurs alliés.
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Poaski
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MessageSujet: Re: Littérature Praetorienne.   Littérature Praetorienne. EmptyLun 9 Juin - 18:42

Enfin ma préférence va quand même à ta toute première Suède Wink
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Julie
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MessageSujet: Re: Littérature Praetorienne.   Littérature Praetorienne. EmptyMer 11 Juin - 11:41

Gloire à Praetoria et vivie vous! Smile
GG pour ces merveilleuses histoires!
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Svea
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MessageSujet: Re: Littérature Praetorienne.   Littérature Praetorienne. EmptyMer 11 Juin - 18:57

Voilà, j'en rêvais depuis longtemps, alors je me le suis offert.

http://litteraturepraetorienne.blogspot.com/
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MessageSujet: Re: Littérature Praetorienne.   Littérature Praetorienne. EmptyMer 11 Juin - 20:32

ça c'est une super initiative Smile
encore GG, moult GG!
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MessageSujet: Re: Littérature Praetorienne.   Littérature Praetorienne. EmptyMer 11 Juin - 21:17

La classe : )
Heim, tu penses que c'est jouable de rajouter des liens vers toutes les vidéos que les praetoriens ont pu faire dans le blog??
Hop, dans les favoris
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MessageSujet: Re: Littérature Praetorienne.   Littérature Praetorienne. EmptyMer 11 Juin - 21:55

C'est plus que jouable !
J'y jetterai un oeil demain Smile
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MessageSujet: Re: Littérature Praetorienne.   Littérature Praetorienne. EmptyJeu 12 Juin - 9:57

si je puis me permettre.... ton introduction est en double sur le blog Rolling Eyes
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MessageSujet: Re: Littérature Praetorienne.   Littérature Praetorienne. EmptyJeu 12 Juin - 11:15

Belle initiative Svea Smile gg cheers
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Svea
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MessageSujet: Re: Littérature Praetorienne.   Littérature Praetorienne. EmptyJeu 12 Juin - 11:19

En fait non, elle n'est pas en double. C'est juste qu'elle correspond plus au moins au premier article edité.
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